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Tasbîh (chapelet)

Par définition, le mot “Tasbîh” signifie littéralement le fait de lire le wazîfah (récitation) “Sub’haanallaah”, mais dans le parlé courant, le mot est devenu synonyme de l’objet en question, alors que dans le monde arabe il est appelé Musabbihah ou des dérivés comme Masbahah ou Sab’hah. Par extension, le mot ‘tasbîh’ communément utilisé pour

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désigner un wazîfah qui est fait en quantité à l’aide de l’objet tasbîh.

Il s’agit d’une forme de chapelet contenant 100 graines (scindées en trois tranches de 33) car la base de nombreux wazîfahs étant le nombre cent.

On trouve aussi des versions raccourcies contenant 33 graines (scindées en trois tranches de 11), chaque graine se lisant alors en trois fois pour arriver à cent.

L’objet en lui-même est sacré compte tenu qu’il est utilisé pour faire les éloges d’Allah ta’âlâ. Le manipuler donc avec respect même lorsqu’il n’est pas utilisé.

Parallèlement dans la pratique spirituelle, on peut compter les tasbîhâts sur les phalanges des doigts de la main, le tout est d’avoir le contrôle du compte pour arriver à cent ou tranches de cent.

À notre époque moderne, on trouve des objets mécaniques pour le comptage des tasbîhâts ou même des tasbîhs électroniques, mais ces derniers sont un peu dépourvus de l’authenticité du traditionnel tasbîh-chapelet, qui date des premiers temps de l’islam.

 

Tasbîh-é-Fâtwimah

Celle qui est considérée comme la chef de toutes les dames du jannat (paradis), la bien-aimée fille du Prophète [s.a.w.], Hazrat Bibi Fâtwimah az-Zahrâ [r.a.]. Elle se fatiguait beaucoup durant la journée par les travaux domestiques, en plus d’être toujours plongée dans les ‘ibâdats. Elle était donc venue une fois demander de l’aide à son père le saint-Prophète [s.a.w.] pour avoir une personne captive pour l’aider dans ses tâches.

Sur ce, le saint-Prophète [s.a.w.] lui dit qu’il lui donnera quelque chose qui vaudra beaucoup plus que plusieurs servantes pour l’aider. Le cadeau fut la recommandation qu’elle lise après chaque Namâz faraz : 33 fois “Sub’haanallaah” ; 33 fois “Alhamdu-lillaah” ; et 34 fois “Allaahu akbarr”. Elle fut ravie par ce cadeau spirituel et d’une certaine manière grâce à elle, et par son intermédiaire, nous, le peuple (ummat) du saint-Prophète [s.a.w.] avons hérité de ce grand wazîfah qu’est le “Tasbîh-é-Fâtwimah”, appelé aussi “Tasbîh-é-Zahrâ”.

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Hormis après chaque namâz faraz, il est préconisé aussi avant de dormir.